Dans la douceur de l’aube naissante,

Un souffle paisible de nouvelle année débute.

Une jeune femme et son compagnon innocent,

Partagent un moment de tendresse muette.

 

Le givre caresse la terre endormie,

Le soleil, timide, éveille l’horizon lointain,

Leurs cœurs battent à l’unisson, pure harmonie,

Dans l’étreinte, ils tissent l’espoir de demain.

 

Les champs de givre scintillent, étendue divine,

Le cochon, doux et chaud, contre sa peau s’appuie,

La nouvelle année promet d’être sereine et fine,

Comme la paix qu’ils trouvent dans ce calme qui les lie.

 

Le monde s’éveille à la lumière d’hiver,

La promesse de jours meilleurs danse dans l’air,

L’année qui vient sera douce et tendre,

Comme ce tableau de paix qu’ils choisissent de peindre.