La rédaction remercie Chat GPT pour son coup de main !

Presque plus  personne ne parle l’argot Parigot, et c’est bien dommage. Mais venez ici, les Parigots, les vrais !

Eh ouais, mec, si t’as envie de te la coller sévère, viens donc kiffer en Dordogne ! Ici, c’est le kiff à la frenchy : y a des châteaux de ouf, des paysages à tomber par terre, et la bouffe, c’est du lourd ! Si t’es chaud pour te la jouer sauvage, t’as des rivières où te rafraîchir, des forêts où te perdre, et des cavernes pour te prendre pour Indiana Jones. Mais si t’es plutôt du genre à te péter la culture, sache qu’on a de quoi te faire grave kiffer : Lascaux, Sarlat, Beynac, Rocamadour, ça te cause ?

Attends, frérot, j’ai gardé le meilleur pour la fin : la bouffe de chez nous. Si t’es un vrai glouton, t’es servi grave. Ici, on est des as avec le foie gras, le confit de canard, le magret, la truffe, le fromage de chèvre… et y en a encore à la pelle ! Et pour accompagner tout ça, t’as les vins de la région : Bergerac, Monbazillac, Pécharmant. De quoi te mettre bien !

Alors ouais, ça peut paraître cliché, mais crois-moi, mon gars, c’est du solide. Ici, on prend le temps de profiter des plaisirs de la vie, on se la coule douce. Si t’as envie de fuir le brouhaha et la pollution de la ville, de te mettre en mode chill, de t’immerger dans une culture chaleureuse et authentique, viens chez nous. T’auras aucun regret, ça j’te le garantis.

Et Rabelais, la classe !

Par les gargouilles de Notre-Dame, si tu cherches à te délecter de mets délicieux, viens donc faire un tour en Dordogne ! Ici, la vie est une fête perpétuelle, les châteaux abondent à chaque détour, et la nature sauvage est là pour te séduire.

Par le menton de Pantagruel, si tu cherches à tromper ton ennui et à te rassasier de plaisirs, viens donc faire ripaille en Dordogne ! Ici, tu trouveras des mets exquis, des vins divins, et des paysages enchanteurs. Mais ne te fais pas d’illusions, car tu n’es pas le seul à chercher à te gorger de ces délices.

Les foules se pressent dans les châteaux, les rivières sont bondées de baigneurs, et les sentiers de randonnée sont parcourus par des touristes épuisés. Mais si tu es prêt à endurer ces inconvénients pour goûter aux plaisirs de la vie, alors viens donc chez nous.

Et pour les érudits, je ne saurais que trop te recommander les joyaux de notre patrimoine, qui raviront tes sens et ta curiosité. Lascaux, Sarlat, Beynac, Rocamadour… autant de lieux qui te feront voyager dans le temps.

Et enfin, comment pourrais-je oublier de te parler de la dive bouteille ? Ah, cette liqueur divine, qui enivre l’esprit et réjouit le palais ! Mais attention, mon ami, car ici aussi, les charlatans pullulent. Alors choisis bien tes compagnons de ripaille, et méfie-toi des breuvages frelatés.

Si tu veux te plonger dans l’effervescence de la vie et savourer tous ses plaisirs, viens donc en Dordogne. Mais ne crois pas que la route sera facile, car ici, on ne donne rien sans effort.

 

Coulisses rabelaisiennes

Ah, voilà Rabelais qui débarque à Sarlat ! Il regarde autour de lui, étonné par ce qu’il voit : des maisons en pierre jaune, des toits de lauze, des ruelles étroites et sinueuses. Tout cela lui semble bien contemporain !

Mais, comme il est curieux et avide de découvertes, il décide de s’aventurer dans la ville, de flâner dans ses rues et de goûter à ses spécialités culinaires. Il se laisse guider par son nez, qui le mène droit vers les effluves alléchantes des confits, des magrets, des foies gras et autres mets délicieux.

Il s’arrête devant une auberge où l’on sert une soupe de truffes noires, et là, il se dit : “Par le mâtin, mais qu’est-ce que c’est que ça ? Une soupe de truffes ? Allons, allons, voilà qui est bien étrange !”

Mais il se laisse tenter, et dès la première cuillerée, il sent une explosion de saveurs dans sa bouche. Il ferme les yeux et se laisse emporter par la volupté de la dégustation. Il se dit alors : “Ah, mes amis, cela vaut bien toutes les inventions du monde !”

Et ainsi, Rabelais continue sa découverte de la ville de Sarlat, émerveillé par tout ce qu’elle a à offrir. Et même s’il est surpris par ce qu’il voit, il se dit que le plaisir de la chair et de la bonne chère sont universels, intemporels, et qu’il est heureux de pouvoir y goûter, ici et maintenant, comme en tout temps et en tout lieu.

 

Sur la dive bouteille, soyons précis !

  • “Le vin est le lait des vieillards” (Gargantua, Livre II, chapitre VIII)
  • “Le vin est la joie du cÅ“ur de l’homme” (Pantagruel, Livre III, chapitre VIII)
  • “La dive bouteille est un tonneau de riens” (Pantagruel, Livre II, chapitre II)
  • “Le vin est la source de l’amitié et de l’amour” (Pantagruel, Livre III, chapitre VIII)
  • “Le bon vin réjouit le cÅ“ur de l’homme” (Gargantua, Livre II, chapitre VIII)
  • “Le vin est la consolation des affligés, la nourriture des affamés, la boisson des assoiffés et l’essence de la vie” (Tiers Livre, chapitre XIII)
  • “Le vin est une boisson divinement humaine qui éclaire l’esprit, inspire la sagesse et libère l’imagination” (Pantagruel, Livre IV, chapitre XXV)

Rabelais est à consommer sans modération !

Et voici une histoire complètement inauthentique que raconte Rabelais notre ami

En ce jour béni de l’année, lorsque le soleil d’or déclinait à l’horizon du Périgord, et que l’air était empli du bourdonnement des insectes, je me trouvai en compagnie de mes amis dans une humble auberge. Nous avions parcouru une longue route, et nos gosiers étaient secs et râpeux. Nous ne rêvions que d’une chose : une dive bouteille de vin, qui pourrait étancher notre soif et réconforter notre corps fatigué.

Ainsi donc, nous avons commandé une bouteille de ce précieux breuvage, dont la couleur pourpre était telle que l’on aurait pu croire qu’elle avait été extraite du sang même des dieux. À peine avions-nous trempé nos lèvres dans le nectar que nous avons été envahis par une douce chaleur, qui s’est propagée de notre gorge à notre poitrine, puis jusqu’à nos extrémités.

Le vin était riche et corsé, avec des notes de fruits rouges et de vanille, qui se mélangeaient en une symphonie de saveurs. Nous nous sommes alors laissés emporter par l’ivresse de la dive bouteille, qui était à la fois notre amie et notre ennemie, notre confidente et notre tentatrice.

Nous avons échangé des récits et des chants, dans une communion d’esprit et de corps, où le vin avait effacé toutes les barrières. Les heures ont filé, et nous avons fini par sortir de l’auberge, ivres et heureux, portés par les bienfaits de la dive bouteille.

Cet instant restera gravé à jamais dans mon esprit, comme le symbole de la joie et de l’amitié, que seule la dive bouteille peut apporter.

Enfin, voici une histoire qui utilise des termes bel et bien rabelaisiens !

Il était une fois, en Dordogne, un jeune garçon du nom de Gaston. Il avait un penchant pour les histoires de chevaliers et de châteaux-forts. Un jour, alors qu’il se promenait dans les bois, il aperçut une troupe de personnes qui mascarait leur visage. Il décida de s’approcher pour voir de plus près. C’est alors qu’il découvrit qu’ils chaffouraient le sol avec leurs bottes, laissant derrière eux des traces profondes. Curieux, Gaston se rapprocha encore plus, mais il aculait dans la boue et tomba de tout son long.

Les gens masqués se retournèrent vers lui et se mirent à rire. L’un d’eux avait un filet rempli de parpaillons qu’il avait capturés dans la forêt, et les autres crachait-on au sol en signe de mépris. Gaston, vexé, se releva et s’enfuit en courant.

Il arriva finalement à un petit village où une vieille femme vendait une gerbe de beurre. Gaston voulut acheter du beurre mais il n’avait pas assez d’argent. Il demanda à la vieille femme s’il pouvait travailler pour elle en échange de quelques morceaux. Elle accepta et lui donna une lame pour chaffourer la terre dans le jardin.

Gaston travailla dur et bientôt le jardin fut nettoyé de toutes les herbes folles. La vieille femme lui offrit une bouteille de bren pour le remercier de son travail. Gaston la remercia en enfilant un des haubergeons de son père qui était un ancien chevalier.

Pendant qu’il s’habillait, Gaston remarqua des raisins mûrs dans le jardin. Il en mangea quelques-uns et fut heureux de leur douceur. Soudain, un groupe de hillots arriva en courant dans le jardin. Ils voulurent tirer sur Gaston avec une petite arme à feu, mais Gaston les fit fuir en leur lançant une gerbe de raisins à la figure.

En riant, Gaston s’assit sur une botte de paille et regarda les nuages au-dessus de sa tête. Il pensa à la journée qu’il avait passée et sourit en se disant : “Mau de pipe vous bire, hillots ! Je suis plus malin que vous !”

Vocabulaire :

mascarait : se couvrir le visage
chaffourait : salir, tacher
aculait : enfoncer les talons dans la boue
parpaillons : papillons
crachait-on : crachait-on (terme utilisé pour exprimer la vulgarité)
gerbe de feurre : tas de beurre
chaffourait : gratter
tirait au chevrotin : tirer avec une petite arme à feu
nues fussent pailles : les nuages étaient faits de paille
bren : boisson alcoolisée
haubergeons : chemises de mailles
rais : raisins
hillots : gens ignorants
mau de pipe vous bire : mauvais coup à vous